Pendant quarante ans, André Leclerc a œuvré dans le mouvement syndical. Après une brève incursion dans le journalisme, il devenait en 1968 responsable des communications au Syndicat canadien de la fonction publique. En 1970, il joignait l’équipe de la FTQ et y assumait tour à tour la direction du « soutien aux luttes » et de la « solidarité internationale ». En plus de rédiger de nombreux textes pour la centrale (notamment L’État, rouage de notre exploitation et le Manifeste des grévistes), il est l’auteur de deux recueils de poésie : Poussières-Taillibert et Journal en vers et avec tous, publiés aux Éditions Parti-Pris.